Une Fête de Néron, tragédie en cinq actes. Représentée sur le théâtre royal de l’Odéon le 28 décembre 1829. Ornée d’une lithographie, par Raffet, élève de Gros et de Charlet.

Edition originale de cette tragédie considérée comme l’une des meilleures oeuvres d ‘Alexandre Soumet (1786-1845), qu’il composa en collaboration avec Louis Belmontet. La planche dépliante lithographiée d’Auguste Raffet représente une scène de la pièce. « Le texte se présente comme un prolongement, comme une suite de la tragédie classique, illustrant sans aucun doute la volonté de synthétiser chez Soumet le classicisme et le romantisme au sein d’une même pièce. Loin de s’annihiler, les deux écoles coexistent brillamment dans l’œuvre de Soumet et de Belmontet » (cf. K. Laffont, ‘Philosophie, mythe et imagination dans l’œuvre d’Alexandre Soumet’, U. Toulouse le Mirail, II, HAL, 2021). La pièce reçut un accueil triomphal et connut cent cinq représentations à l’Odéon. Membre du « Cénacle » romantique, Alexandre Soumet a été célèbre en son temps comme poète et dramaturge. Victor Hugo professait pour lui une grande admiration. Edition originale de cette tragédie considérée comme l’une des meilleures oeuvres d ‘Alexandre Soumet (1786-1845), qu’il composa en collaboration avec Louis Belmontet. La planche dépliante lithographiée d’Auguste Raffet représente une scène de la pièce. « Le texte se présente comme un prolongement, comme une suite de la tragédie classique, illustrant sans aucun doute la volonté de synthétiser chez Soumet le classicisme et le romantisme au sein d’une même pièce. Loin de s’annihiler, les deux écoles coexistent brillamment dans l’œuvre de Soumet et de Belmontet » (cf. K. Laffont, ‘Philosophie, mythe et imagination dans l’œuvre d’Alexandre Soumet’, U. Toulouse le Mirail, II, HAL, 2021). La pièce reçut un accueil triomphal et connut cent cinq représentations à l’Odéon. Membre du « Cénacle » romantique, Alexandre Soumet a été célèbre en son temps comme poète et dramaturge. Victor Hugo professait pour lui une grande admiration.